Michele Gismondi, ange gardien de Coppi. Il lui était né et a vécu à Montegranaro, être la dernière grégaire de Coppi.
Il mange la poussière et kilomètres throught les rues de Fermo jusqu’à ce que, en raison de l’intérêt du champion du che, il est entré dans l’équipe légendaire Biagio Cavanna. Il est passé de l’amateur au professionnel dans l’équipe de Fausto Coppi à Bianchi de le suivre dans les activités sur Carpano, Ghigi, Tricofilina jusqu’à la retraite en Gazzola (1960).
Un travailleur acharné, un vrai grégaire et a toujours travaillé pour l’équipe et son capitaine. Coppi lui voulait toujours à ses côtés et historique étaient les excuses Gismondi quand il a gagné. Michele Gismondi a dit au journaliste « quelle chose valent lorsque vous exécutez bien mais Fausto qui a mal tourné? ».
Sur son carerr a remporté le Grand Prix de Belmonte (1953), la Coupe Agostini (1959), le Grand Prix d’Europe (Imola 1958), a touché la victoire dans les derniers tours du Latium, Emilia, à différentes étapes du Tour d’Italie, Trofeo Baracchi. Quand il a enfin pu être le capitaine, un grave accident lui a fait retirer en 1960.
Il est retourné à son Montegranaro pour fabriquer des chaussures, à la suite du vélo avec le même profil bas qui, tout au long de sa carrière, avait suivi son capitaine. Gagné par la maladie, il est mort le 4 Septembre 2013. Là-bas, on a réalisé que le monde du cyclisme, celle de la passion pure, l’esprit d’équipe, de sacrifice, il n’a jamais oublié de lui: pas un adepte, mais un vrai champion. Par-dessus tout, un gentleman.